Ses romans nous jettent au coeur de l'Angleterre : villages écologiques, églises anglicanes hantées par de ténébreux pasteurs à marier et par de malicieuses bigotes, ventes de charité où l'on s'épie... Le regard impitoyable de la romancière est celui d'une ethnologue.
La "demoiselle comme il faut" est le prototype de la demoiselle anglaise raisonnable et bien élevée, dépourvue de fantaisie. Mais elle peut parfois rêver et préférer l'amour à la raison.
Dulcie Mainwaring vient de rompre ses fiançailles. Pour se consoler, elle se rend à un seminaire réunissant "les échantillons les plus poussièreux du monde académique".